ADAMFrançois Jean DEROI mat ce.0594068b@ac ce.0594075j@ mere.teresa.rbx@neuf.fr ou -lille.fr Saint ELOI 19, rue Louis Decottignies .01 03.20.83.79.01 Monsieur GOALES JĂ©rĂ©mie Catherine CRESSENT EST ce.0593935g@ac-lille.fr ou chefdetablissement@ecolesainte loiroubaix.fr st François d’Assise ElĂ©mentaire
Etre demi-pensionnaire au CollĂšge Sainte Marie Le collĂšge ne dispose pas de cantine au sein mĂȘme de l’établissement. Les enfants vont manger Ă  la cantine de l’ensemble scolaire Saint François d'Assise Ă  Roubaix avec qui nous sommes en partenariat pour les repas. Pour la procĂ©dure d’inscription Ă  la cantine, vous devez vous prĂ©senter au secrĂ©tariat du collĂšge afin de verser un acompte de 50€ en dĂ©but d’annĂ©e scolaire. On vous demandera ensuite de nous dĂ©poser une copie de votre avis d’imposition afin de pouvoir Ă©ventuellement bĂ©nĂ©ficier de rĂ©ductions. Le tarif varie ainsi de 3,43€ Ă  5,30€.
Voicila prĂ©sentation de notre Ă©tablissement en vidĂ©o! Celle-ci a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e avec la participation de plusieurs Ă©lĂšves et membres du personnel du lycĂ©e. Vous pouvez aussi aimer SĂ©curitĂ© L’école de Saint-Macaire 33 saccagĂ©e Ă  quelques jours de la rentrĂ©e Dimanche soir, l’école de Saint-Macaire prĂšs de Langon, a Ă©tĂ© saccagĂ©e. La commune se dit “consternĂ©e face Ă  une telle bĂȘtise” et annonce faire son maximum pour que la rentrĂ©e puisse se faire... 23/08/2022 Ă  22h21 SĂ©curitĂ© Cassel 59 Un homme retrouvĂ© mort aprĂšs 17 coups de couteau, un adolescent de 17 ans interpellĂ© Le corps d’un homme tuĂ© de 17 coups de couteau a Ă©tĂ© retrouvĂ© dimanche matin 21 aout sur la commune de Cassel, dans le dĂ©partement du Nord. Un suspect a Ă©tĂ© interpellĂ© et placĂ© en garde Ă  vue. La victime, ĂągĂ©e de... 22/08/2022 Ă  21h20 SĂ©curitĂ©SociĂ©tĂ© Roubaix violences urbaines et incendies aprĂšs des opĂ©rations anti-rodĂ©o, les policiers ont dĂ» intervenir pour protĂ©ger les pompiers Une enquĂȘte a Ă©tĂ© ouverte vendredi 19 aoĂ»t aprĂšs des troubles nocturnes Ă  Roubaix Nord, a indiquĂ© la Direction dĂ©partementale de la sĂ©curitĂ© publique DDSP, indiquant qu’elle devra dĂ©terminer si ces violences... 19/08/2022 Ă  14h06 MondePolitiqueSociĂ©tĂ© Minnesota États-Unis les enseignants blancs des Ă©coles publiques seront bientĂŽt licenciĂ©s en prioritĂ©, particuliĂšrement s’ils ont de l’anciennetĂ© Les enseignants de couleur de l’école publique de Minneapolis bĂ©nĂ©ficieront de protections supplĂ©mentaires pour la prochaine annĂ©e scolaire en vertu d’un nouveau contrat qui leur permettra de conserver leur... 16/08/2022 Ă  19h40 SĂ©curitĂ© Villeneuve-d’Ascq 59 un exhibitionniste entre la vie et la mort aprĂšs s’ĂȘtre cognĂ© contre un bus en tentant d’échapper aux passants qui voulaient le retenirïżŒ Il se serait masturbĂ© dans le bus Ă  la vue de voyageurs qui l’ont fait descendre place de la RĂ©publique. Alors que cet homme de 32 ans tentait de fuir, sa tĂȘte aurait violemment heurtĂ© le vĂ©hicule. Le trentenaire aurait... 11/08/2022 Ă  21h40 SĂ©curitĂ© Roubaix Il s’introduit dans la chambre d’hĂŽtel d’une inconnue, l’agresse Ă  coups de cutter, puis la viole Une femme de 37 ans a Ă©tĂ© attaquĂ©e au cutter puis violĂ©e par un inconnu dans sa chambre d’hĂŽtel, Ă  Roubaix Nord, dans la nuit du jeudi 21 au vendredi 22 juillet. Le parquet de Lille a confirmĂ© la mise en examen du... 05/08/2022 Ă  14h59 SĂ©curitĂ© Grande-Synthe 59 En pleine nuit, ils dĂ©barquent chez un policier, l’agressent, le menacent de mort, et menacent de violer sa femme. Ils sont condamnĂ©s Ă  6 mois ferme et
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PrĂ©dicateur, poĂšte, directeur de conscience, fondateur du lycĂ©e des Flandres, de l’institution St-François d’Assise, du collĂšge des Dunes Ă  Dunkerque, d’une institution Ă  Gravelines, promoteur de la paroisse Notre-Dame, il a fait venir les capucins, créé plusieurs congrĂ©gations et a failli ĂȘtre dĂ©putĂ©. L’abbĂ© Lemire lui a consacrĂ© un livre de 592 pages et la ville fit donner la fanfare quand on apprit qu’il avait refusĂ© la direction du sĂ©minaire de Cambrai pour rester dans les Flandres. Il Ă©tait nĂ© Ă  Wormhout dans une famille trĂšs modeste, le 16 septembre 1809. RemarquĂ© pour sa ferveur et sa vivacitĂ© d’esprit, par le clergĂ© de Quaedypre, oĂč il passa son enfance, il apprit Ă  dĂ©cliner " Rosa la rose " sur le rythme’ poĂ©tique d’un tic-tac de moulin. C’est un meunier, M. Van Bockstael, qui lui procura les premiĂšres nourritures spirituelles. Quelques annĂ©es. plus tard, il arrivait, Ă  pied, au collĂšge d’Hazebrouck. Quatre classes au rez-de-chaussĂ©e du couvent des Augustins, pas de cour de rĂ©crĂ©ation, la place du MarchĂ© aux Chevaux en tenait lieu, le collĂšge Ă©tait dirigĂ© par un prĂȘtre, l’abbĂ© Delassus connu surtout pour avoir traduit en flamand une grammaire française. Jacques Dehaene fit des Ă©tudes de " biographie ", c’est-Ă -dire " particuliĂšrement brillantes ".Il profita largement de l’enseignement qui lui fut donnĂ© et entra au sĂ©minaire de Cambrai. Toujours aussi ardent au travail, il excellait en discours latin. Et l’un de ses condisciples flamand, faisant allusion Ă  son nom " Dehaene " le coq put Ă©crire au lendemain d’un examen " Notre petit Coq a chantĂ© plus fort que tous les Français " .OrdonnĂ© prĂȘtre le 17 Aout 1834 faute de ressources, sa famille ne put assister Ă  la cĂ©rĂ©monie, Cambrai Ă©tait alors le bout du monde, il fut nommĂ© vicaire Ă  Douai St-Jacques. il Ă©tait sur le point d’entrer chez les JĂ©suites quand la municipalitĂ© hazebrouckoise fit appel Ă  lui. En effet, du cĂŽtĂ© des Augustins, rien n’allait plus. L’abbĂ© Delassus avait Ă©tĂ© remplacĂ© par un civil, Ce civil devait manquer de civilitĂ©. Les effectifs fondaient comme neige au soleil. De 80, les Ă©lĂšves passĂšrent Ă  30 puis Ă  15. Les conseillers municipaux parlĂšrent sĂ©rieusement de fermer l’établissement et de transformer les subventions du collĂšge en quelques bourses d’études. L’abbĂ© Dehaene prit la relĂšve, aprĂšs avoir prĂ©parĂ© et passĂ© en quelques -semaines son baccalaurĂ©at. Il fut nommĂ© officiellement directeur le 23 janvier 1838. En octobre, il s’installe dans une maison situĂ©e en face de l’église et qui sera le berceau du collĂšge des Flandres. En plus du latin et du français. il ouvre des cours de. mathĂ©matiques et ce qui parut une audace, une classe d’écriture. Ce cours fut confiĂ© Ă  Mr DesbuschĂšre, calligraphe rĂ©putĂ© qui remportait toutes les mĂ©dailles d’or dans les concours de maĂźtres d’écriture. C’est lui qui calligraphiait les vƓux et souhaits sur les cartes de nouvel an que les imprimeurs offraient Ă  leur clientĂšle, dĂšs le 1er dĂ©cembre. L’établissement ne cesse de se dĂ©velopper. Une Ă©cole primaire supĂ©rieure est créée et annexĂ©e au collĂšge, de nouveaux locaux sont construits et le proviseur avance F pour faire transformer les mansardes en dortoirs. Il ne sera remboursĂ© qu’aprĂšs sept ans de dĂ©marches et de rĂ©clamations. Dans la nuit du 16 au 17, un incendie dĂ©truisit l’école de la Sainte-union qui jouxtait le collĂšge. On crut que le collĂšge lui-mĂȘme flambait. Les rĂ©pĂ©titeurs affolĂ©s criĂšrent " sauve qui peut ". On passa une partie du mobilier par la fenĂȘtre. Ce fut une panique indescriptible, L’abbĂ© Dehaene y vit plus tard le doigt de Dieu. Le conseil municipal qui se faisait tirer l’oreille pour quelques menues dĂ©penses, vota F pour l’agrandissement de l’établissement qui se prolonge jusqu’à la rue de la Paix. L’abbĂ© Dehaene, modeste pour lui, aimait l’apparat pour son Ă©tablissement. Il avait créé une sociĂ©tĂ© de musique dirigĂ©e par M. Verroust et qui remplaçait parfois la garde. Les distributions de prix Ă©taient de grandioses cĂ©rĂ©monies qui se dĂ©roulaient sous une tente dans la cour, et Ă©taient assorties de reprĂ©sentations. théùtrales. L’abbĂ© ne badinait pas avec la discipline. Un jour que les Ă©lĂšves avaient Ă©tĂ© bruyants il en mit 12 Ă  la porte pour quinze jours. Parmi les punis se trouvait le fils du plus haut fonctionnaire de la ville. Le rayonnement de sa personnalitĂ© Ă©tait tel qu’en 1845, il fut nommĂ© directeur du SĂ©minaire de Cambrai. Le maire obtint de Mgr Giraud qu’il ne partit pas. Quand la nouvelle fut connue, la musique de la garde lui donna la sĂ©rĂ©nade. En 1850, au contraire, c’est lui qui songe Ă  quitter la ville. Il a Ă©tĂ© l’objet d’intrigues mais pour Ă©viter une dĂ©cision trop brusquĂ©e, il dĂ©cide de partir en voyage. A son retour, dans la soirĂ©e, les habitants font des illuminations sur son passage. Toutes les fenĂȘtres s’allument .en signe de bienvenue et d’accueil. Il restera. L’abbĂ© Dehaene n’hĂ©sita pas Ă  s’engager dans l’arĂšne politique. 4000 personnes l’acclament Ă  Morbecque et le dĂ©signent comme candidat rĂ©publicain conservateur aux Ă©lections. Il arrivera en tĂȘte dans la ville et les environs mais ne sera pas Ă©lu. Ses opinions politiques lui attirent l’hostilitĂ© du gouvernement. La victoire de Mr Plichon en 1863, sur le candidat gouvernemental, accroĂźt la malveillance officielle. Il est limogĂ©. Plusieurs professeurs dĂ©missionnent. Les Ă©lĂšves en profitent pour rĂ©aliser le rĂȘve de tous les Ă©lĂšves du monde ils fomentent une petite Ă©meute et commencent Ă  dĂ©paver la cour. Sur les 150 Ă©lĂšves inscrits, il en restera 11 Ă  son dĂ©part. sources La voix du Nord Dimanche 28 Mars 1965 Jacques DEHAENE "Cet homme de Dieu a exercĂ© dans le Nord un vaste apostolat... C’était une nature d’élite. Il Ă©tait ardent comme un homme du midi, correct et digne comme un homme du Nord. Le collĂšge ne suffisait pas Ă  son zĂšle, il Ă©vangĂ©lisait la Flandre. Il allait prĂȘchant avec une vĂ©ritable Ă©loquence en flamand et en français. Il nous donnait au collĂšge la lecture spirituelle quotidienne, le catĂ©chisme du dimanche, des sermons, les confessions. Il faisait le cours de philosophie, prĂ©sidait les conseils et dirigeait la congrĂ©gation. Il savait ĂȘtre extrĂȘmement bon et rĂ©serve tout Ă  la fois. J’eus le bonheur d’ĂȘtre pendant quatre ans son pĂ©nitent."source LĂ©on Dehon NHV I 14r f. haut de page 1865- LA RÉVOCATION DE MONSIEUR DEHAENE L'ancien cloĂźtre et la tombe du pĂšre Isidore - cliquez pour agrandir- Le Principal du CollĂšge communal, Mr Dehaene devint insensiblement, pour l’Administration civile de l’époque, un " fonctionnaire irrĂ©gulier et incorrect ". Le 8 mars 1865, il fut donc rĂ©voquĂ©, aprĂšs 28 ans de services irrĂ©prochables. DĂ©jĂ  le 6 avril 1861, les Capucins avaient dĂ» quitter Hazebrouck. Leur sĂ©jour avait durĂ© peine sept ans. M. l’abbĂ© Dehaene se retira donc au couvent des Capucins, dont il Ă©tait un des trois propriĂ©taires. Tous les professeurs prĂȘtres du CollĂšge communal suivirent leur Principal aux Capucins. Il tenait s’établir Ă  Hazebrouck, oĂč il Ă©tait mieux placĂ© pour recueillir des vocations sacerdotales et pour les abriter. C’était l’avis de tout le clergĂ©. " Ce grand diocĂšse de Cambrai n’a qu’un Petit SĂ©minaire, perdu au fond du dĂ©partement. Vous allez Ă©tablir Ă  Hazebrouck le Petit SĂ©minaire de la Flandre et du nord du diocĂšse ". Ce fut aussi l’avis de Mgr RĂ©gnier qui le nomma aussitĂŽt Chanoine honoraire. Le 16 juillet 1865, aprĂšs bien des difficultĂ©s et des dĂ©marches, M. Dehaene obtint l’autorisation d’ouvrir une Institution libre, et le couvent des Capucins prit le nom d’Institution Saint-François d’Assise. " Je la nomme du nom de Saint François d’Assise, ce grand saint que j’aime tant, parce qu’il a tant aimĂ© le bon Dieu, parce qu’il a tant aimĂ© les pauvres" Lettre de M. Dehaene. En deux mois 1/2 un Ă©tage fut ajoutĂ© aux bĂątiments primitifs pour les dortoirs des pensionnaires. Ce seront les dortoirs St François, St Louis et St Joseph. Les locaux furent transformĂ©s Ă  la hĂąte la sacristie, les greniers et jusqu'Ă  des Ă©tables furent affectĂ©s aux classes. Plus tard, Mr Dehaene construisit l’aile droite qui longe la rue Warein. La maison, inhabitĂ©e depuis quatre ans, secoua sa torpeur et son deuil. C’était toujours le mĂȘme couvent, asile de priĂšre et de recueillement, avec son cimetiĂšre, au centre, entourĂ© d’un cloĂźtre, avec sa chapelle conventuelle, son beau retable monumental et sa cloche, dont le timbre argentin rappelle, de nos jours encore, un Ă©cho de monastĂšre. Le cloĂźtre tint lieu, dĂšs lors, de prĂ©au couvert; le cimetiĂšre, oĂč reposait le PĂšre Isidore, supĂ©rieur des Capucins, fut transformĂ© en jardinet et le potager converti en cours de rĂ©crĂ©ation. L’aile gauche, avec le rĂ©fectoire actuel, date de 1886, aprĂšs la mort de Mr Dehaene le haut de page Mr Dehaene, Mr Baron et les professeurs en 1873 au dernier rang, Jules Lemire, alors surveillant - cliquez pour agrandir- MERCREDI 8 MARS 1865-L'arrivĂ©e de Jacques Dehaene Ă  Saint-François extrait de "L'abbĂ© Dehaene et la Flandre", par Jules Lemire - 1891 La chapelle-1890 cliquez pour agrandir " DĂšs que j’ai mis le pied Ă  Saint-François, j’ai senti je ne sais quel ineffable contentement. Du haut de son autel dĂ©sert depuis plusieurs annĂ©es la Sainte Vierge semblait nous dire " Soyez les bienvenus!" Tous ceux qui m’ont suivi partageaient ma joyeuse confiance .En mĂȘme temps que son cƓur se remplissait de joie, sa poitrine se dilatait d’aise. — Nous avons ici un local spacieux et un ocĂ©an d’air et de lumiĂšre, avec une belle Ă©glise. Depuis que la disgrĂące m’a frappĂ©, je ne me suis jamais senti une santĂ© meilleure, ni un courage aussi mĂąle, ni une gaĂźtĂ© aussi franche et aussi naturelle. Je sens que Dieu m’a fait pour la lutte. Et un peu plus loin " Ma santĂ© est parfaite, je dors fort bien;merveille de DIEU aprĂšs tant de souffrances, je suis prĂȘt Ă  tout entreprendre pour son amour."Le couvent des Capucins Ă©tait inhabitĂ© depuis trois ans. Le seul religieux qui le gardait avait dĂ» partir Ă  cause du mauvais vouloir de l’administration la solitude Ă©tait donc complĂšte. Les cellules, laissĂ©es dans leur Ă©tat primitif, n’offraient au regard que des murs de briques nues. On Ă©tait au mois de mars. Il faisait froid. Rien ne donne froid et rien n’est triste comme une maison vide;et quand elle est de construction rĂ©cente, son dĂ©labrement ajoute Ă  la tristesse de l’abandon celle d’un veuvage prĂ©maturĂ©. A l’arrivĂ©e de ses hĂŽtes inattendus, le couvent des Capucins secoua sa torpeur et son deuil. Dans les premiers jours, on n'avait ni feu ni meubles. M. Dehaene et ses collĂšgues durent aller prendre leurs repas en ville. Mais bientĂŽt arriva Rosalie, la bonne servante qui dirigeait la cuisine du collĂšge. Elle franchit non sans Ă©motion la clĂŽture du cloĂźtre, qu’elle profanait en y entrant. On pendit la crĂ©maillĂšre. On eut un foyer. On mangea son pain. Puis la chapelle fut rouverte; l’autel se revĂȘtit de propretĂ© et de lumiĂšres ; la Sainte Messe fut cĂ©lĂ©brĂ©e, et le DIEU de l’Eucharistie reprit possession de son tabernacle. Les murs en tressaillirent de joie et la cloche, rĂ©veillĂ©e de son long sommeil, sonna en palpitant un angelus triomphal. Autour de la chapelle, les fleurs du jardin redressĂšrent leurs corolles ; depuis le dĂ©part du PĂšre Camille, elles ne savaient plus Ă  qui sourire. Le printemps s’ouvrait. Les arbres se hĂątĂšrent d’étaler leur feuillage, et les oiseaux, heureux d’égayer des oreilles humaines, reprirent plus tĂŽt leurs doux concerts. Les maisons du quartier, attristĂ©es elles-mĂȘmes par le voisinage d’une grande solitude, semblaient prendre part Ă  cette vie nouvelle et s’associer Ă  cette rĂ©surrection. haut de page LA RENTRÉE 1865 A SAINT-FRANÇOIS D'ASSISE Le sĂ©minaire avant 1900 - cliquez pour agrandir- La rentrĂ©e eut lieu le 9 octobre 1865 avec 15 professeurs et 175 Ă©lĂšves, dont 120 pensionnaires. C’était un chiffre imposant pour l’époque. De 1868 Ă  1871, Charles Boute fut Ă©conome et Athanase Lagatie le remplaça de 1871 Ă  1883. Parmi les Ă©lĂšves se trouvait un enfant qui se prĂ©nommait RĂ©mi, originaire de Bambecque. Il allait ĂȘtre proclamĂ© bienheureux par le Pape Pie XII en 1955 RĂ©mi IsorĂ©. Deux ans plus tard, en Janvier 1867, dans ce petit SĂ©minaire qui n’était encore qu’une institution libre arriva en classe de 5° le petit Jules Lemire alors ĂągĂ© de 14 ans. Saint- François, annĂ©e 1870. "L'abbĂ© Dehaene et la Flandre", Jules Lemire-1891 cliquez pour agrandir A Saint-François, M. Dehaene put donner libre carriĂšre a son zĂšle, Ă  ses exhortations. Nombreux sont ceux qui lui doivent leur sacerdoce ou les principes religieux qui inspirĂšrent toute leur vie. Sur les bancs du collĂšge ils ont entendu tant de fois le beau langage apostolique et ils ont eu si longtemps sous les yeux un modĂšle d’abnĂ©gation et de sacrifice. Un moment vint oĂč il fallut modĂ©rer les gĂ©nĂ©reux Ă©lans qui emportaient les jeunes gens vers les Missions. Il s’agit bien de 1870, l’époque de NapolĂ©on III. St François, sous la direction vigoureuse de son fondateur, Monsieur le Chanoine DEHAENE, Ă©tait bien vivant. Écoutons l’abbĂ© Lemire, dans son livre, " L’abbĂ© Dehaene et la Flandre " nous raconter les projets que l’on avait Ă  St François, peu de temps avant qu’une guerre malheureuse ne vint amoindrir notre pays" Monsieur Dehaene pensait Ă  former une Association d’Anciens ÉlĂšves. Il voulut l’inaugurer par un banquet et une cĂ©rĂ©monie religieuse... AprĂšs rĂ©flexion, il se dĂ©cida pour la date du 22 septembre 1870. Il rĂ©servait, pour ce jour-lĂ , l’inauguration des orgues de St François, un bel instrument, sorti des ateliers Merklin-SchĂŒtze. Les invitations furent lancĂ©es le 9 juin. Elles mentionnaient ainsi le programme de la journĂ©eUne messe solennelle sera cĂ©lĂ©brĂ©e, le 22 septembre, Ă  neuf heures du matin, Ă  l’intention de tous les invitĂ©s, avec instruction par M. l’abbĂ© Ledein, ancien professeur du CollĂšge d’Hazebrouck, ancien SupĂ©rieur du CollĂšge de Notre-dame des Dunes, Ă  Dunkerque, actuellement du ClergĂ© de- Paris. Le banquet sera servi Ă  une heure. A 3 heures 30 aura lieu la cĂ©rĂ©monie de la bĂ©nĂ©diction de l’Orgue, suivie de l’inauguration, pendant laquelle se feront entendre M. Renaud de Vilbac, grand Prix de Rome, organiste de St EugĂšne, et M. Charles Verroust, premier Prix de Basson du Conservatoire de Paris, ancien Ă©lĂšve du CollĂšge d’Hazebrouck elle se terminera par un salut solennel, avec Sermon de circonstance par le prĂ©dicateur du matin . Arrivaient bientĂŽt de toutes parts, les adhĂ©sions chaleureuses des anciens Ă©lĂšves, tous heureux qu’on leur fournĂźt l’occasion de se revoir..., de resserrer les liens d’amitiĂ© formĂ©s sur les bancs du collĂšge, et de revenir, pour quelques heures, du moins, Ă  l’inoubliable cordialitĂ© du premier Ăąge ". Mais brusquement, tous ces beaux projets furent anĂ©antis. Le 19 Juillet, la France dĂ©clarait la guerre Ă  la Prusse. Le 4 aoĂ»t, les parents des Ă©lĂšves Ă©taient rĂ©unis Ă  St François, selon l’expression de Monsieur Dehaene, non pour " une distribution mais pour une proclamation des prix ". En effet, on peut lire sur la premiĂšre page du PalmarĂšs de l’annĂ©e 1869-70, cette mention " Les Ă©lĂšves ont fait spontanĂ©ment le sacrifice de leurs livres de Prix en faveur de l’ArmĂ©e française sur le Rhin, en guerre contre la Prusse." HĂ©las, ce mĂȘme 4 aoĂ»t, c’était la dĂ©faite de Wissembourg et l’invasion de l’Alsace. Les 1er et 2 septembre, Bazaine se laissait cerner sous Metz, Mac-Mahon capitulait Ă  Sedan, l’empereur rendait son Ă©pĂ©e. Le 4 septembre, l’Empire Ă©tait renversĂ©. Naturellement, Ă  St François, il ne fut plus question d’inauguration d’orgues, de banquet, de rĂ©union d’anciens Ă©lĂšves, de fĂȘte quelconque.... haut de page La sociĂ©tĂ© Saint-Vincent de Paul vers 1870 1871 Jules Lemire, prĂ©sident de la sociĂ©tĂ© Saint-Vincent de Paul DĂšs le 26 Septembre 1865 eut lieu la crĂ©ation de la sociĂ©tĂ© Saint-Vincent de Paul, sous la prĂ©sidence de ThĂ©ophile Deman. Elle se rĂ©unit ensuite chaque semaine pendant prĂšs d'un siĂšcle dans l'une des salles de l'Établissement. C'est Monsieur Baron qui la dirigeait Ă  cette Ă©poque. Pendant l'annĂ©e scolaire 1870-1871, le secrĂ©taire de la sociĂ©tĂ© fut RĂ©mi IsorĂ© alors que Jules Lemire, alors Ă©lĂšve de RhĂ©torique en fut le prĂ©sident pendant l'annĂ©e scolaire 1871-72. Quelle Ă©tait la vie Ă  St François vers les annĂ©es 1870 ? Un prospectus imprimĂ© par Mr Dehaene nous donne quelques informations. " Nous travaillons Ă  faire l’éducation des enfants par tous les exercices propres Ă  dĂ©velopper les facultĂ©s de l’ñme et les facultĂ©s du corps et surtout par la religion, Ăąme et flambeau des lettres, des sciences et des arts... Une surveillance paternelle suit l’élĂšve toujours et partout, pour le former Ă  l’amour de l’ordre et du devoir. " Ce prospectus nous donne aussi des renseignements sur l’uniforme de rigueur Ă  cette Ă©poque "redingote et pantalon noir donc pas de bas gilet noir pour l’hiver, blanc pour l’étĂ© ; boutons ronds en cuivre argentĂ© sur le gilet avec cet exergue "Institution Saint François d’Assise"; cravate blanche, casquette avec cordeliĂšre et broderie argent ; gants blancs". sources Un petit sĂ©minaire dans les annĂ©es 30- Jean Six haut de page JULES LEMIRE ÉLÈVE PUIS PROFESSEUR A SAINT-FRANÇOIS Extrait du livre d'or du sĂ©minaire signalant l'entrĂ©e en 5° de Jules Lemire en 1867 SCOLARITÉ DE JULES LEMIRE Les Ă©lĂšves en 1872 Jules Lemire, Ă  droite, au premier rang - cliquez pour agrandir- A la fin de la premiĂšre annĂ©e scolaire, en 1867, il obtient un 2° prix d'instruction religieuse ainsi que d'histoire et de gĂ©ographie. ÉlĂšve brillant, il obtient en 3° le premier prix d'histoire, de gĂ©omĂ©trie, de thĂšme grec, de vers latins, d'instruction religieuse... en 1870 neuf premiers prix, et en 1872, 10 premiers prix. Ses condisciples sont alors Charles Patinier, futur prĂȘtre des missions Ă©trangĂšres, Mgr Bridoux qui entra chez les pĂšres blancs, Henry Vanhaecke, pĂšre du Saint -Esprit, Louis Dromaux, qui fut seul survivant de la caravane de 10 missionnaires entrĂ©e la premiĂšre au TangaNika. C'est le 10 AoĂ»t 1872 que Jules Lemire dĂ©croche deux baccalaurĂ©ats Ă  Saint-François Ăšs lettres et Ăšs sciences . JULES LEMIRE PROFESSEUR De 1873 Ă  1876 il devient "professeur-abbĂ©" en tant que grand sĂ©minariste, surveillant en 1873-74, professeur de troisiĂšme en 1874-1875, puis professeur adjoint de philosophie en 1875-76. En mai 1876, sur l'ordre de son supĂ©rieur, L'abbĂ© Lemire, ainsi que les autres professeurs du petit sĂ©minaire, invitent les habitants d'Hazeebrouck Ă  signer la pĂ©tition demandant le maintien de la loi de 1875 sur l'enseignement supĂ©rieur. C'est en 1878 que l’administration diocĂ©saine le nomme professeur au petit SĂ©minaire d’Hazebrouck Il y enseigne la philosophie de 1878 Ă  1881, puis la rhĂ©torique jusqu’à son Ă©lection en 1893. Mr Lemire fut donc professeur pendant 20 ans Ă  St François sous la direction de Mr Dehaene et de Mr Baron. C'est Ă  cette Ă©poque que l'abbĂ© Lemire qui Ă©volue vers une acceptation de la RĂ©publique, ressent l’hostilitĂ© de son entourage de son supĂ©rieur l’AbbĂ© Baron, du doyen de St Éloi Ă  Hazebrouck et des notables de la ville qui restent farouchement conservateurs. Finalement lorsqu' il se prĂ©sente aux Ă©lections lĂ©gislatives de 1893, Mr Baron lui demande de quitter St François. sources Un petit sĂ©minaire dans les annĂ©es 30- Jean Six - l'abbĂ© Lemire par jean-Robert et Gabriel Remy 1929-Librairie Plon- Un prĂȘte dĂ©mocrate par Mayeur. haut de page Mgr BRIDOUX - P. Bd. 1852-1890 Mgr Bridoux cliquez pour agrandir Vicaire Apostolique du Tanganika nĂ© Ă  HĂ©nin-LiĂ©lard P-de-C. le15 janvier 1852 ; ordonnĂ© prĂȘtre Ă  Maison-CarrĂ©e Alger le 24 octobre 1874 professeur au Petit SĂ©minaire indigĂšne avant son ordination, il le suit, en novembre 1874, Ă  Saint-Laurent dOlt Aveyron ; retour, en septembre 1876, Ă  Maison-CarrĂ©e, pour enseigner l’arabe aux novices et aux scolastiques. SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral en 1877, Assistant en 1878, il fut, cette mĂȘme annĂ©e placĂ© Ă  la tĂȘte de l’école apostolique de Saint-EugĂšne, puis Ă  la tĂȘte du noviciat en Vicaire gĂ©nĂ©ral de la SociĂ©tĂ© en 1883, provincial de Tunisie en 1886 et supĂ©rieur du scolasticat. Élu ÉvĂȘque titulaire d’Utique et Vicaire apostolique du Tanganika Afrique Ă©quatoriale, rĂ©gion des grands lacs, il fut sacrĂ© Ă  Paris le 8 juillet 1888, par Son Éminence le Cardinal Lavigerie. C’était le premier Ă©lĂšve de Saint-François Ă©levĂ© Ă  l’épiscopat. Trois jours aprĂšs 11 juillet, il Ă©tait Ă  Hazebrouck avant de partir pour sa mission lointaine, il voulait visiter le berceau de sa vocation et saluer ses anciens maĂźtres. La semaine suivante, il s’embarquait Ă  Marseille et parvenait au lac en janvier 1889. Le 21 octobre 1890, il succombait Ă  la fiĂšvre hĂ©matĂ©mique, au cours d’une visite Ă  la station de Kibanga, sur la rive occidentale du lac, au nord de la citĂ© actuelle d’Albertville. haut de page Le RĂ©mi ISORE, RĂ©mi IsorĂ© cliquez pour agrandir Le RĂ©mi ISORE, martyr en Chine, bĂ©atifiĂ© par le Pape Pie XII en 1955 nĂ© Ă  Bambecque le 29 juin 1832. EntrĂ© Ă  Saint-François d’Assise en 1865 ; en " sixiĂšme ", oĂč il remporte tous les premiers prix, avec celui de bonne conduite ; il passe, l’annĂ©e suivante, en "quatriĂšme", oĂč il va rejoindre le futur Mgr Bridoux et les futurs PĂšres T. Dromaux, E Lebeau, C. Patinier et H. Vanhaecke. RĂ©mi IsorĂ© quitte Hazebrouck aprĂšs sa philosophie, en 1875, va faire une seconde annĂ©e de philosophie au Grand SĂ©minaire de Cambrai, et, aprĂšs trois annĂ©es de professorat Ă  Notre Dame des Victoires, Ă  Roubaix, il entre dans la Compagnie de JĂ©sus, Ă  Amiens, en 1875 Il fait profession le 21 novembre 1877, et enseigne pendant deux ans 1878 et 1879 au collĂšge de la Providence, Ă  gĂ©nĂ©reux, il soffrit, en 1880 pour le ZambĂšze, oĂč les missionnaires tombaient comme des mouches. Il ne put partir qu’en avril 1882, mais pour la Chine, dans la mission du TchĂ©li-Sud-Est. il Ă©tudia d’abord le chinois, puis la thĂ©ologie, fut ordonnĂ© prĂȘtre le 31 juillet 1888, nommĂ© prĂ©fet au collĂšge de Tchang-Kia-Tchoang en 1888, puis missionnaire Ă  Tchao-Kia-Tchoang en 1897, et ministre ou directeur de section au Wei-Hsien. Venu Ă  Sien-Hsien le 16 juin 1900 pour faire sa retraite et passer quelques jours de vacances, il constata que de grands troubles Ă©taient imminents. Il voulut retourner immĂ©diatement Ă  son poste, au danger. Les chrĂ©tiens lui conseillĂšrent d’éviter la ville de Ou-i. "Je veux, leur rĂ©pondit-il, repasser par Ou-i, oĂč je viens de voir le PĂšre Andlauer, qui est dans les transes s’il y a danger, je serai avec lui.". Parti de Sien-Hsien vers 1 heure du matin, le lundi 18 juin, il arriva Ă  Ou-i peu aprĂšs midi. AussitĂŽt aprĂšs son entrĂ©e, on ferma les portes de la ville. La rĂ©sidence fut assaillie le lundi soir, et surtout la journĂ©e du mardi. Vers 5 h. 1/2 le 19 juin 1900, les Boxeurs firent irruption et tuĂšrent les deux PĂšres, qui s’étaient rendus Ă  la chapelle, au pied de l’autel. haut de page 1872 Mgr FERRANT Monseigneur Ferrant Vicaire Apostolique de Kian-Si-Sept Chine nĂ© Ă  Wervicq-Sud le 2 juillet 1859 Ă©lĂšve au Petit SĂ©minaire d’Hazebrouck, 1872-1878 entrĂ© dans la CongrĂ©gation de la Mission le 6 septembre 1880 vƓux le 8 dĂ©cembre 1880 ; Ă  Vernhout Hollande en 1882 ordonnĂ© prĂȘtre Ă  Paris le 7 juin 1884 ; dĂ©part pour la Chine en 1884, et directeur au Grand SĂ©minaire de Ning-Po nommĂ©, en juillet 1898, coadjuteur de Mgr Bray, Vicaire apostolique du TchĂ©-Kiang et sacrĂ© Ă  Ning-Po le 2 octobre 1898 ;Ă©lu, le 24 septembre 1905, ÉvĂȘque titulaire de Barbalis et Vicaire apostolique du Kiang-Si septentrional dĂ©cĂ©dĂ© Ă  ShanghaĂŻ le 5 novembre 1910. haut de page Les grandes Ă©tapes de Saint-François On peut distinguer quatre pĂ©riodes dans l’existence de l’Institution Saint-François d’Assise 1865-1873 De 1865 Ă  1873, Institution de plein exercice, comprenant les humanitĂ©s et les cours de français. En dĂ©cembre 1873. le Cardinal RĂ©gnier, tout en conservant les cours de français, la transforma en Petit SĂ©minaire. " Elle l’était de fait, Ă©crit-il, " au vĂ©nĂ©rĂ© fondateur, par le grand nombre de prĂȘtres qu’elle donnait au diocĂšse; elle le sera dĂ©sormais de droit, elle en aura le titre et les prĂ©rogatives ". Son Éminence rĂ©alisait ainsi un des dĂ©sirs les plus ardents de qui s’écriera en annonçant la nouvelle aux familles "PrĂ©cieuses vocations ecclĂ©siastiques, c’est pour vous dĂ©couvrir, pour vous exciter, pour vous conduire Ă  un heureux terme, que je suis entrĂ©, il y a 40 ans," dans la carriĂšre de l’enseignement ". 1879-1894 De 1879 Ă  1894, le Petit SĂ©minaire ne comporte plus de cours de français mais garde encore une division d’externes. A partir de 1894 , l’internat Saint-François d’Assise est purement "Petit SĂ©minaire" Les successeurs de M. Dehaene ont gardĂ© avec amour et avec respect les rĂšglements, les traditions et surtout l’esprit de Saint-François. 1882- La fin de Mr Dehaene en 1881 Monsieur Dehaene officiellement dĂ©missionnaire pour raison de santĂ© cĂšde la place Ă  Mr Baron, qui Ă©tait son bras droit depuis 20 ans. Mr Dehaene dĂ©mĂ©nage au 32 rue d'Aire le 8 Novembre 1881. Il accepte cette disgrĂące avec humilitĂ©. Il dĂ©cĂ©da le samedi 15 Juillet 1882. Le jour de ses funĂ©railles, toutes les maisons de la rue d’Aire furent garnies de tentures blanches et sobres. Le pavĂ© Ă©tait jonchĂ© de fleurs et de verdure. Deux souscriptions furent ouvertes par ses anciens Ă©lĂšves. Elles ont permis d’élever un monument, funĂ©raire au cimetiĂšre d’Hazebrouck et d’installer une plaque commĂ©morative au sĂ©minaire. Cette plaque porte en latin l’inscription suivante D. O. M. Ce monument a Ă©tĂ© Ă©levĂ© Ă  leur trĂšs aimĂ© et trĂšs regrettĂ© pĂšre en JĂ©sus Christ, homme trĂšs puissant en parole et en Ɠuvre, excellent Ă©ducateur de la jeunesse, MaĂźtre Pierre Jacques Dehaene, supĂ©rieur pendant 45 ans, d’abord du collĂšge d’Hazebrouck, puis du sĂ©minaire de cette ville, chanoine honoraire de l’église de Cambrai en tĂ©moignage de vĂ©nĂ©ration et de gratitude par ses fils et Ă©lĂšves qui gardent son souvenir. NĂ© l’an du Seigneur 1809, il s’est acquittĂ© dignement et saintement de son ministĂšre de prĂȘtre pendant 47 ans. Il est mort dans la paix du Seigneur, l’an du Christ 1882. Qu’il repose en paix. En mai 1889, le conseil municipal dĂ©cida de donner son nom Ă  une rue d’Hazebrouck. haut de page

Quelest le classement du Lycee Professionnel Saint Francois D'Assise (Roubaix - 59100) dans le palmarÚs des lycées 2022 de L'Express? Découvrez le classement 2022 de tous les lycées de France

Le Tiers-Ordre franciscain est une association pieuse laĂŻque fondĂ©e en 1222 dans la ville de Bologne, en Italie, par saint François d'Assise, Ă  la demande de personnes mariĂ©es voulant vivre Ă  l'exemple des frĂšres franciscains sans entrer dans un ordre religieux. Cependant, au cours de l'histoire, de nombreux groupes issus du Tiers-Ordre franciscain se sont constituĂ©s en instituts de vie consacrĂ©e. Afin de marquer plus nettement le caractĂšre sĂ©culier des tertiaires, cette association laĂŻque de fidĂšles prend, Ă  la suite du concile Vatican II, le nom d’Ordre franciscain sĂ©culier Il compterait un peu moins de 450 000 membres en 2012. Fondation du tiers-ordre de Saint François Au XIIIe siĂšcle, François d'Assise fonde plusieurs ordres, dont les premiers sont celui des Franciscains - qui regroupe plusieurs congrĂ©gations - celui des Clarisses et enfin le Tiers-Ordre franciscain, en 1222 Ă  Bologne, Ă  la demande d'un homme mariĂ©, LuchĂšse de Caggiano. Cet ordre laĂŻc s'Ă©tablit Ă  l'initiative de personnes voulant vivre presque comme les FrĂšres franciscains mais tout en ayant une famille. Le Tiers-Ordre est un Ordre sĂ©culier fondĂ© par saint François d'Assise et approuvĂ© par l'Église pour la sanctification de ses membres, et, par voie de consĂ©quence, pour la rĂ©gĂ©nĂ©ration chrĂ©tienne de la sociĂ©tĂ©. On l'appelle Tiers-Ordre parce qu'il est le troisiĂšme Ordre fondĂ© par saint François. Le premier est celui des FrĂšres mineurs ou franciscains 1209 ; le deuxiĂšme, celui des Pauvres Dames, ou Clarisses 1212 ; le troisiĂšme Ă©tait primitivement appelĂ© Ordre de la PĂ©nitence 1221. C'est un Ordre, et non pas simplement une confrĂ©rie ou une association de dĂ©votion. C'est un Ordre sĂ©culier, c'est-Ă -dire qu'il est composĂ© non de religieux astreints aux vƓux monastiques, mais de personnes du monde qui s'obligent, comme des religieux, Ă  servir Dieu et l'Église d'une maniĂšre plus parfaite et adaptĂ©e Ă  leur condition. Le tertiaire y trouve les principaux avantages de la vie religieuse. GrĂące Ă  sa RĂšgle, il observe plus aisĂ©ment et plus complĂštement les prĂ©ceptes du saint Évangile, et marche avec plus de sĂ©curitĂ© sur les traces de JĂ©sus-Christ avec saint François comme guide et protecteur. Enfin, la rĂ©gĂ©nĂ©ration chrĂ©tienne de la sociĂ©tĂ© sera le doux fruit assurĂ© de ce perfectionnement individuel, car l'exemple est souverainement envahissant. » extrait du Manuel des Tertiaires Ă©ditĂ© par les Capucins de Morgon CommunautĂ© capucine d’observance traditionnelle. On peut citer quelques tertiaires parmi beaucoup sainte Élisabeth de Hongrie[1] landgravine de Thuringe, saint Louis roi de France[2], saint Roch pĂšlerin[3], Christophe Colomb[rĂ©f. nĂ©cessaire], saint Thomas More[rĂ©f. nĂ©cessaire], Cervantes[4], le comte de Chambord »[rĂ©f. nĂ©cessaire], la princesse Anne de Prusse 1836-1918[rĂ©f. souhaitĂ©e] landgravine de Hesse-Cassel-Rumpenheim, le duc d'Alençon[5], ZĂ©lie Martin[6] mĂšre de sainte ThĂ©rĂšse de l'Enfant-JĂ©sus. Un couvent de l'ordre du Tiers ordre de Saint-François existait Ă  Paris, le couvent des moines de Picpus fondĂ© en 1600, fermĂ© en 1790. Le renouveau du Tiers-Ordre de la fin du XIXĂšme siĂšcle Ă  1945 C'est avec l'accession au pontificat en 1878 du pape LĂ©on XIII, lui-mĂȘme tertiaire de Saint François, que le Tiers-Ordre franciscain connaĂźt un nouveau dĂ©veloppement. Pour le septiĂšme centenaire de la naissance de saint François 1882, le pape dĂ©livre une encyclique par laquelle il invite fortement les Ă©vĂȘques Ă  faire connaĂźtre et estimer Ă  sa valeur le Tiers-Ordre ». LĂ©on XIII considĂšre en effet que seule cette sainte milice de JĂ©sus Christ » peut apporter des remĂšdes aux maux dont souffrent les sociĂ©tĂ©s occidentales lutte des classes, franc-maçonnerie, individualisme. La France se couvre alors de fraternitĂ©s, parfois trĂšs nombreuses Roubaix, et les tertiaires s’engagent dans le catholicisme social. Si le socialisme est devenu le danger imminent de notre sociĂ©tĂ©, le capitalisme, c’est-Ă -dire la prĂ©dominance injuste du capital, et les abus qui en sont rĂ©sultĂ©s, sont les vraies causes du dĂ©sordre social actuel », dĂ©clarent les participants au premier congrĂšs national du Tiers-Ordre rĂ©uni Ă  Paray-le-Monial en 1893. Cette accentuation sociale finit par inquiĂ©ter Rome, et dĂšs le dĂ©but du XXe siĂšcle, les tertiaires sont invitĂ©s Ă  considĂ©rer le Tiers-Ordre avant tout comme une Ă©cole de perfection chrĂ©tienne »[7]. Pendant la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle, les effectifs des fraternitĂ©s restent importants peut-ĂȘtre deux cent mille tertiaires en France dans les annĂ©es vingt, mais le Tiers-Ordre s’interroge sur son avenir. Il subit de plein fouet la concurrence de l’action catholique, mieux armĂ©e pour l’apostolat ; tout en ayant conscience de son unitĂ©, il souffre d’ĂȘtre sĂ©parĂ© en deux obĂ©diences, franciscaine et capucine ; enfin, il hĂ©site sur ce qui fait son caractĂšre propre. Est-il, oui ou non, un Ordre religieux ? À cette Ă©poque, les tertiaires prennent un nom de religion, font leur “profession” aprĂšs un temps de “noviciat”, et se font souvent enterrer avec l’habit de l’Ordre. Plusieurs noms importants du catholicisme social français du XIXĂšme siĂšcle sont issus du Tiers-Ordre, comme FrĂ©dĂ©ric Ozanam qui a publiĂ© les Fioretti du saint d’Assise, Mgr de SĂ©gur auteur en 1868 d’une brochure intitulĂ©e Le Tiers-Ordre de Saint-François, le pĂšre Dehon, mais aussi Marius Gonin et AdĂ©odat Boissard, les cofondateurs des Semaines sociales [8]. Le principal rĂ©formateur du Tiers-Ordre en France est LĂ©on Harmel 1829-1915, devenu tertiaire en 1862, qui organise notamment Ă  partir de 1893 de grands congrĂšs rĂ©gionaux et nationaux qui condamnent clairement les abus du capitalisme, au nom de la doctrine sociale de l’Église. La fraternitĂ© des hommes créée Ă  Roubaix en 1892 devient une des implantations emblĂ©matiques du catholicisme social dans le monde ouvrier. Dans les cinq premiĂšres annĂ©es de sa crĂ©ation, elle passe de 163 Ă  521 membres[9]. Pendant la seconde guerre mondiale, des franciscains s'engagent dans la rĂ©sistance. En ce qui concerne la France, on peut citer en premier lieu le gĂ©nĂ©ral Charles Delestraint, premier chef de l'ArmĂ©e secrĂšte, assassinĂ© Ă  Dachau en 1945, mais aussi le journaliste AymĂ© Guerrin, le futur gĂ©nĂ©ral Jean Teissier de Marguerittes, qui commanda les FFI de Paris lors de la libĂ©ration de Paris sous le pseudonyme de "colonel LizĂ©", ou encore le jeune Pierre Alvizet fusillĂ© en aoĂ»t 1944. La rĂ©forme aprĂšs la seconde guerre mondiale À la suite des mouvements qui traversent l'Église catholique au XXe siĂšcle, notamment la rĂ©flexion sur la place des laĂŻcs en son sein et une nĂ©cessitĂ© d'action sociale, une rĂ©forme est lancĂ©e Ă  partir des annĂ©es 1960 pour aboutir en 1978. Le 24 juin de cette annĂ©e, le pape Paul VI approuve la nouvelle RĂšgle de l'Ordre par la lettre apostolique Seraphicus Patriarca[10]. Le Tiers-Ordre prend entretemps le nom d' Ordre franciscain sĂ©culier » En 1993, on comptait 354 220 tertiaires franciscains et en 2012, environ 450 000[12]. C'est un des tiers-ordres qui compte le plus de membres dans l’Église catholique. Le siĂšge de l'Ordre est installĂ© Ă  Assise et la cathĂ©drale est celle de la basilique Saint-François dans la mĂȘme ville Assise. EmblĂšmes et cĂ©lĂ©brations EmblĂšme de l'Ordre Franciscain SĂ©culier, Ă  PetrĂłpolis À l'instar de tous les autres ordres franciscains, les tertiaires franciscains ont pour symbole la main stigmatisĂ©e du fondateur croisĂ©e avec celle, Ă©galement stigmatisĂ©e, du Christ. La fĂȘte des tertiaires franciscains est cĂ©lĂ©brĂ©e le 4 octobre, se confondant avec la fĂȘte de leur fondateur François d'Assise. C'est Ă©galement le jour oĂč la plupart des membres de la congrĂ©gation renouvellent leur promesse de vie Ă©vangĂ©lique dans l'esprit de pauvretĂ©, chastetĂ© et obĂ©issance ainsi que leur attachement Ă  la RĂšgle de l'Ordre. Ordre sĂ©culier Aujourd'hui, la plupart des tertiaires font partie de l'Ordre franciscain sĂ©culier. Ordre rĂ©gulier Au XIVe siĂšcle, AngĂ©lique de Marsciano fonde un Tiers-Ordre rĂ©gulier, proposant une vie cloĂźtrĂ©e dans les monastĂšres et respectant le vƓu de chastetĂ©. Le Tiers-Ordre franciscain donne ainsi naissance Ă  plusieurs autres congrĂ©gations. CongrĂ©gations religieuses issues du Tiers-Ordre franciscain Franciscaines rĂ©paratrices de JĂ©sus-Hostie, maison-mĂšre Ă  Paris. Un grand nombre d'instituts ou congrĂ©gations masculins ou fĂ©minins ont Ă©tĂ© fondĂ©s selon la rĂšgle du Tiers-Ordre franciscain, parmi lesquels Franciscains de l'Atonement fondĂ©s en 1898 aux États-Unis par Paul Wattson. Doloristes fondĂ©s en 1880 en Pologne par le Bienheureux Honorat de Biala. Franciscaines de l'Adoration perpĂ©tuelle fondĂ©es en 1849 aux États-Unis par Emiliana Dix. Franciscaines de la Bienheureuse Vierge Marie des Anges fondĂ©es en 1863 en Allemagne par la Bienheureuse Rosa Flesch. Franciscaines de Dillingen fondĂ©es en 1241 en Souabe. Franciscaines missionnaires de Marie fondĂ©es en 1877 en Inde par la Bienheureuse Marie de la Passion. Franciscaines rĂ©paratrices de JĂ©sus-Hostie[13] fondĂ©es en 1894 Ă  Paris par le chanoine Louis Le Roux de Bretagne, vicaire Ă  La Madeleine. FrĂšres franciscains de la Sainte-Croix fondĂ©s en 1862 en Allemagne par le FrĂšre Pierre Wirth. FrĂšres de l'ImmaculĂ©e-Conception de Huijbergen fondĂ©s en 1854 par Mgr Van Hooydonk aux Pays-Bas. FrĂšres des pauvres de Saint-François-SĂ©raphique fondĂ©s en 1857 par Johannes Philipp Höver en Allemagne. FrĂšres franciscains de Brooklyn fondĂ©s en 1818 par Mgr John Loughlin aux États-Unis. FrĂšres missionnaires de Saint François d'Assise fondĂ©s en 1901 en Inde par Mgr Crochet. SƓurs de Saint FĂ©lix de Cantalice fondĂ©es en 1855 en Pologne par la Bienheureuse Marie-AngĂšle Truszkowska. SƓurs de Saint-François d'Oldenburg fondĂ©es en 1851 aux États-Unis par ThĂ©rĂšse Hackelmeir. SƓurs franciscaines missionnaires du SacrĂ©-CƓur fondĂ©es en Italie de GĂ©mone Ă  Udine en 1861 par Laure Leroux, duchesse de Beauffremont. SƓurs tertiaires capucines de la Sainte Famille et FrĂšres tertiaires capucins de Notre-Dame-des-Douleurs, fondĂ©s en 1885 et 1889, en Espagne, par Louis AmigĂł y Ferrer. RĂšgle Le Tiers-Ordre franciscain consiste Ă  vivre comme les Franciscains. Donc, vivre dans la priĂšre, la charitĂ© et de ne jamais utiliser une arme mais ils doivent remplir leur devoir de conscrits quand il y a lieu, par exemple pendant les derniĂšres guerres mondiales, quand des soldats faisaient partie du Tiers-Ordre franciscain mais aussi de faire vƓu d'appartenir Ă  saint François d'Assise[Quoi ?]. Beaucoup de membres pieux du Tiers-Ordre respectent aussi scrupuleusement des rĂšgles volontaires applicables Ă  tous les chrĂ©tiens prier rĂ©guliĂšrement, Ă©tudier le bien et le mal[Quoi ?], avoir une grande dĂ©votion Ă  la Passion du Christ, vivre dans l'amour du prochain, ce qui est le commandement le plus important pour n'importe quel chrĂ©tien, et vivre dans l'humilitĂ©. PriĂšre PriĂšre destinĂ©e aux membres de l'Ordre franciscain sĂ©culier Notes et rĂ©fĂ©rences ↑ Sainte Elisabeth de Thuringe », sur consultĂ© le 27 dĂ©cembre 2017 ↑ Lucien Barbe, Histoire du Couvent de Saint-Louis et de Sainte-Élisabeth de Louviers et de la possession des religieuses de ce monastĂšre, t. V 1898, Louviers, Imprimerie EugĂšne Izambert, coll. Bulletin de la sociĂ©tĂ© d'Ă©tudes diverses de Louviers », 1899, 444 p. lire en ligne, p. 112. ↑ Saint Roch », sur consultĂ© le 27 dĂ©cembre 2017 ↑ Des scientifiques persuadĂ©s d'avoir retrouvĂ© des restes de l'auteur de Don Quichotte », 17 mars 2015 lire en ligne, consultĂ© le 27 dĂ©cembre 2017 ↑ CCFr Base Patrimoine Notice sur la vie spirituelle de Mgr. le Duc d'Alençon, du Tiers-Ordre sĂ©culier de S. françois d'Assise / par son directeur le PĂšre Stanislas,... », sur consultĂ© le 27 dĂ©cembre 2017 ↑ Des capucins, des clarisses et
 ZĂ©lie Martin », sur consultĂ© le 27 dĂ©cembre 2017 ↑ Des tertiaires aux laĂŻcs franciscains », sur 5 octobre 2016 consultĂ© le 25 avril 2020 ↑ III – Le rĂŽle du Tiers-Ordre franciscain », La Croix,‎ 6 fĂ©vrier 2019 ISSN 0242-6056, lire en ligne, consultĂ© le 25 avril 2020 ↑ Damien Vorreux, Cent ans d'histoire franciscaine - 1892-1992, Paris, Éditions franciscaines, 1992, 269 p., p. 240 ↑ es Fidel GonzĂĄlez, Los movimientos en la historia de la Iglesia, Ă©d. Encuentro, 1999, p. 215 ↑ Brigitte Caulier, L'Ordre franciscain sĂ©culier Tiers-Ordre », in Jean Hamelin dir., Les Franciscains Au Canada, 1890-1990, Ă©d. du Septentrion, 1990, p. 117 ↑ cf. Amanuel Mesgun Temelso, in Koinƍnia, n°73, janvier 2012, p. 1 ↑ Charisme », sur Franciscaines Reparatrices consultĂ© le 27 janvier 2021 Bibliographie enIngrid Peterson, The Third Order of Francis », in Michael J. P. Robson Ă©d., The Cambridge Companion to Francis of Assisi, Ă©d. Cambridge University Press, 2011 Brigitte Caulier, L'Ordre franciscain sĂ©culier Tiers-Ordre », in Jean Hamelin dir., Les Franciscains Au Canada, 1890-1990, Ă©d. du Septentrion, 1990, pp. 99-122 Louis Gauthier, La belle procession des saints tertiaires franciscains', Paris, Librairie Saint-François, 3e Ă©d, 1923 Articles connexes Église Saint-François-d'Assise de Paris, construite pour cĂ©lĂ©brer le sept centiĂšme anniversaire de la crĂ©ation du Tiers-Ordre franciscain Liens externes Blog des Tertiaires dÂŽobservance traditionnelle en AmĂ©rique du Nord [1] Site des Tertiaires capucines de la Sainte Famille.
Lenseignement privĂ© catholique de la ville de Roubaix, Nord (59), compte parmi ses Ă©tablissements l’École Primaire PrivĂ©e Saint-François-d'Assise. Pour prendre en charge de maniĂšre efficace ses 393 Ă©lĂšves et leur dispenser son enseignement de niveau primaire Sous-contrat d’association, cette structure bĂ©nĂ©ficie de locaux bien amĂ©nagĂ©s.

En juin 1960, l’église Saint François va cĂ©lĂ©brer le centenaire de sa construction. Au milieu du dix neuviĂšme siĂšcle, Roubaix s’agrandit et la population augmente. Il n’y a que deux Ă©glises Ă  cette Ă©poque Saint Martin et Notre Dame. De plus, il y a beaucoup d’ouvriers flamands. On dĂ©cide alors de faire appel aux franciscains pour le service des prĂȘtres flamands. C’est Ă  eux qu’on doit le nom du quartier qui se construit alors St Joseph, dont une rue garde le souvenir, qui mĂšne au parvis de l’église. Ces prĂȘtres franciscains Ă©taient des RĂ©collets, et ils vinrent tout d’abord s’installer dans une maison de la rue du CollĂšge, puis rue Saint Antoine, prĂšs de l’ancien carmel. De gĂ©nĂ©reux paroissiens, parmi lesquels la famille Dujardin, offrent un grand terrain situĂ© en plein champ Ă  la basse masure. Le 21 novembre 1857, la premiĂšre brique du couvent Saint Joseph est posĂ©e. Le 15 mai 1859, c’est au tour de la premiĂšre pierre de la chapelle du couvent. Ce sanctuaire est l’Ɠuvre de l’architecte Dewarlez, et il fait 50 mĂštres de long sur 21 de large. Le 23 juin 1860, la nouvelle chapelle est bĂ©nite. La chapelle des RĂ©collets doc Med Rx Une premiĂšre injonction de quitter les lieux est faite aux RĂ©collets en 1880, les frĂšres franciscains Ă©tant belges sont frappĂ©s d’un arrĂȘtĂ© d’expulsion. Les portes de l’église sont rĂ© ouvertes en 1896. Puis la loi sur les congrĂ©gations religieuses de 1903 force les religieux Ă  quitter les lieux. AprĂšs avoir servi de dĂ©pĂŽt de pain, de logements, d’école d’apprentissage, l’église reprend ses activitĂ©s cultuelles en 1919. La mĂȘme annĂ©e, intervient la crĂ©ation de la paroisse qui englobe les quartiers du cul de four et de la basse masure, et on donne Ă  l’église des pĂšres le nom de Saint François, fondateur de l’ordre franciscain. Notre Dame d’Assistance et les petits pages Photo Nord Éclair Les cĂ©rĂ©monies du centenaire donnent lieu Ă  diverses manifestations le 9 juin une confĂ©rence par le Pol de LĂ©on Albaret Ă  la maison paroissiale de la rue Richard Lenoir, le 14 juin au ColisĂ©e, gala en l’honneur de Saint François d’Assise par Jeunesse et famille », le 19 juin Ă  10 h 30 en l’église Saint François, cĂ©rĂ©monie d’actions de grĂące, sous la prĂ©sidence de Son Eminence le Cardinal LiĂ©nart. Il est accueilli Ă  dix heures rue Philippe Lebon, au domicile de M. Jules Georges Duquesne, adjoint au maire. Une procession conduit ensuite le chef du diocĂšse jusqu’à l’église dont le fronton est ornĂ© des armoiries Ă©piscopales et de l’inscription 1860-1960. En tĂȘte de la procession, le groupe des enfants de chƓur, les communiants et communiantes de l’annĂ©e, la communautĂ© des PĂšres franciscains de Roubaix, une dĂ©lĂ©gation des PĂšres de la province de Paris, de Belgique. Les PĂšres Franciscains en tĂȘte de la procession Photo Nord Éclair Le cardinal est accompagnĂ© de Mgr PrĂ©vost, vicaire gĂ©nĂ©ral. Il est accueilli sous le porche de l’église par le curĂ© Vincent Guegen et le gardien du couvent Alexis Castro. A l’entrĂ©e dans l’église, les grandes orgues tenues par M. Paul CarriĂšre. La messe sera cĂ©lĂ©brĂ©e par le TRP Gustave Boulez, ministre provincial. La chorale paroissiale et la maitrise des FrĂšres du couvent de Mons en Baroeul exĂ©cutent le Missa Festiva. Le RP Alexis Castro donne ensuite lecture en chaire d’une lettre du PĂšre GĂ©nĂ©ral des Franciscains Ă  la communautĂ© de Roubaix, ainsi que d’un tĂ©lĂ©gramme du Vatican. A son tour le cardinal prend la parole. Il dit notamment nous devons faire de nos paroisses des communautĂ©s chrĂ©tiennes ouvertes aux autres et accueillantes. Le Cardinal LiĂ©nart Ă  Saint François Photo Nord Éclair AprĂšs la messe, le cardinal donne Ă  l’assistance sa bĂ©nĂ©diction et regagne la sortie en procession. L’aprĂšs midi fut rĂ©crĂ©atif, les Canterelles d’Anne Marie Debatte exĂ©cutent musiques et danses, puis les frĂšres du noviciat de Mons interprĂštent avec finesse et esprit plusieurs chƓurs.

MaternelleSaint François d'Assise Sainte Famille. 36 Rue Saint Louis. 59100 Roubaix. Téléphone : 03 20 73 49 92. E-mail : ce.0596117d@ac-lille.fr. Site Web : n.c. Toutes les écoles de Roubaix.
De le 21 janvier 2013 Ă  16 h 43 min Formation Initiale CAP AS Certificat d’Aptitude Professionnelle Agent de SĂ©curitĂ© LycĂ©e Professionnel Des Plaines Du Nord 59760 Grande-Synthe 03 28 28 92 00 LycĂ©e Professionnel Des Vertes Feuilles 59350 Saint-AndrĂ©-Lez-Lille 03 20 74 75 76 LycĂ©e Professionnel PrivĂ© Institut Familial 59280 ArmentiĂšres 03 20 77 00 13 LycĂ©e Professionnel PrivĂ© Saint François D’Assise 59100 Roubaix 03 20 70 97 04 LycĂ©e Professionnel PrivĂ© Sainte Marie 62310 Fruges 03 21 04 43 76 BP ATPS Brevet Professionnel Agent Technique de PrĂ©vention et de SĂ©curitĂ© LycĂ©e Professionnel Des Vertes Feuilles 59350 Saint-AndrĂ©-Lez-Lille 03 20 74 75 76 LycĂ©e Professionnel PrivĂ© Institut Familial 59280 ArmentiĂšres 03 20 77 00 13 LycĂ©e Professionnel PrivĂ© Sainte Marie 62310 Fruges 03 21 04 43 76 BP SP Bac Professionnel SĂ©curitĂ© PrĂ©vention LycĂ©e Professionnel AndrĂ© Malraux 62400 BĂ©thune 03 21 64 61 61 LycĂ©e Professionnel Jean Moulin 59100 Roubaix 03 20 81 99 20 LycĂ©e Professionnel PrivĂ© Saint François D’Assise 59100 Roubaix 03 20 70 97 04 Formation continue SĂ©curitĂ© – Surveillance – Gardiennage CQP APS Certification de Qualification Professionnelle Agent de PrĂ©vention et de SĂ©curitĂ© Afpa 62800 Lievin 03 21 77 37 77 Agfcps Centre De Formation 62504 Saint-Omer Cedex 03 21 93 78 45 Auchan. 59656 Villeneuve D’Ascq 03 28 37 69 88 Cabinet S’Way 62110 Henin-Beaumont 09 61 63 53 53 Crefo 59500 Douai 03 27 99 38 64 Crefo 59100 Roubaix 03 20 24 55 63 Crefo 59300 Valenciennes 03 27 29 49 85 Crefo 59650 Villeneuve D’Ascq 03 20 19 18 00 Crefo 62930 Wimereux 03 21 87 47 21 Nord Picardie 59800 Lille Cedex 03 28 36 84 68 Fpsg 59930 La Chapelle D’Armentieres 03 20 57 63 02 Greta 59000 Lille 03 20 74 67 1 L’Ecole Securitas 59702 Marcq-En-Baroeul 03 28 38 69 40 Seris Security Division Ecole De Securite Lambersart 59130 Lambersart 03 20 93 50 83 Sfis Societe Formation Incendie Secourisme 59270 Bailleul 03 28 50 39 39 Ofpa, 59000 Lille 03 20 54 29 17 et BĂ©thune 03 21 65 27 70 SĂ©curitĂ© Incendie SSIAP 1 Agent de service de sĂ©curitĂ© incendie et d’assistance aux personnes Agfcps Flandres Audomarois CĂŽte D’Opale 62500 Saint-Omer 03 21 93 78 45 Afpa 62800 Lievin 03 21 77 37 77 L’Ecole Securitas 59702 Marcq-En-Baroeul 03 28 38 69 40 Ofpa, 59000 Lille 03 20 54 29 17 et BĂ©thune 03 21 65 27 70 ThĂ©sĂ©e Formation 59650 Villeneuve d’Ascq 03 28 36 84 68 SSIAP 2 Chef d’équipe de sĂ©curitĂ© incendie et d’assistance aux personnes Agfcps Flandres Audomarois CĂŽte D’Opale 62500 Saint-Omer 03 21 93 78 45 Afpa 62800 Lievin 03 21 77 37 77 L’Ecole Securitas 59702 Marcq-En-Baroeul 03 28 38 69 40 Ofpa, 59000 Lille 03 20 54 29 17 et BĂ©thune 03 21 65 27 70 ThĂ©sĂ©e Formation 59650 Villeneuve d’Ascq 03 28 36 84 68 SSIAP 3 Chef de service de sĂ©curitĂ© incendie et d’assistance aux personnes Agfcps Flandres Audomarois CĂŽte D’Opale 62500 Saint-Omer 03 21 93 78 45 Ofpa, 59000 Lille 03 20 54 29 17 et BĂ©thune 03 21 65 27 70 ThĂ©sĂ©e Formation 59650 Villeneuve d’Ascq 03 28 36 84 68 Agent cynophile – MaĂźtre chien ACCSP Agent Conducteur de Chien en SĂ©curitĂ© PrivĂ©e Fpsg 59930 La Chapelle D’Armentieres 03 20 57 63 02 Agent de SĂ©curitĂ© aĂ©roportuaire CQP ASA Agent de SĂ»retĂ© AĂ©roportuaire Atc Aero Training Center 59100 Roubaix 01 56 48 09 10 ThĂ©sĂ©e Formation 59650 Villeneuve d’Ascq 03 28 36 84 68 Agent de surveillance de la voie publique ASVP Agent de Surveillance de la voie publique Ofpa, 59000 Lille 03 20 54 29 17 et BĂ©thune 03 21 65 27 70 Recherches associĂ©es Ă  cet article centre de formation agent securite dans le nord pas de calais, centre de formation agent de sĂ©curitĂ© du Nord 59, centre de formation agent de sĂ©curitĂ© du Pas-de-Calais 62 Un centre de formation oubliĂ© ? Une correction Ă  apporter ? Contactez-moi
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