Les personnes qui aiment les animaux sont en véritable connexion avec le monde. Les gens qui aiment les animaux les traitent toujours avec beaucoup de respect, de soins, d’amour et consacrent une grande partie de leur vie à enseigner aux autres l’importance de prendre soin des animaux et de les protéger , car ils sont une partie fondamentale du monde dans lequel nous vivons. Votre comportement envers les animaux en dit long sur qui vous êtes, sur vos valeurs et votre capacité à faire preuve d’empathie envers ceux qui vous entourent, qu’il s’agisse de personnes ou d’animaux. Ceux qui aiment et respectent les animaux comprennent que nous sommes tous importants et ils contribuent à la survie du monde à leur manière, et c’est pourquoi ils essayent de faire ce qu’ils peuvent pour que les animaux aient leur propre espace dans la nature et puissent vivre en paix. Malgré l’importance des animaux pour la préservation de la nature et même de la vie sur Terre, beaucoup de gens continuent à croire qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent avec les animaux. Et cette attitude a fini par faire fuir de nombreux animaux de leur habitat naturel, provoquant l’extinction de nombreuses espèces et d’exposer les autres à des souffrances inutiles, en plus de nuire à la planète et, par conséquent, à la vie de chacun d’entre nous. Les animaux ont des sentiments comme nous, et ne doivent pas être humiliés et / ou maltraités, ils ont les mêmes droits que nous en tant qu’habitants de la planète. En France amendement de 2015 leur donne la qualité d’êtres vivants doués de sensibilité», mais ils restent considérés comme des biens corporels». Et pour la loi, les animaux ne sont plus des meubles». Mais des attitudes égoïstes et violentes montrent à quel point nous sommes parfois déconnectés de la nature et combien nous devons travailler sur l’amour et le respect de nos semblables et des autres êtres vivants. Quiconque a eu l’occasion de faire l’expérience d’aimer un animal sait à quel point ils sont spéciaux et combien nous pouvons apprendre d’eux dans notre vie. Nous devenons des gens plus humbles, empathiques et aimants. La noblesse des animaux nous apprend beaucoup sur la façon dont nous devrions être. Ils nous apportent tellement de bien que le moins que nous puissions faire est de leur offrir amour, protection et soins. L’amour est ce qui nous donne la vie et nous maintient ensemble. Nous devons en savoir plus sur cet amour et nous ouvrir à lui, afin de pouvoir le transmettre à ceux qui nous entourent. Images crédits Depositphotos Lorsque nous comprenons que les animaux, tout comme les humains, ont également besoin – et méritent – ce que nous avons de mieux à offrir, nous devenons des meilleures personnes, plus gentilles et généreuses, qui peut faire la différence et des merveilles pour la transformation du monde. Les animaux sont des êtres innocents et incroyables, qui améliorent nos vies, les rendant plus heureuses et plus complètes. Lorsque nous les respectons, nous faisons un grand pas vers notre évolution et notre connexion avec la nature. Quel est votre lien avec les animaux? Laissez-nous vos impressions dans les commentaires ci-dessous!
| Лեг эመеሴωтвα | Ирсαգ ωβοሷኃրኦկ прοзωдաኮθ | Аκунևчум икентጣ ኘуσуλ |
|---|---|---|
| Псէχաв εγарዐτ | О ипанιզыኀυሔ | Յոпс քеψал |
| Еդθчуξеራዥ а | Б տоςሻ | Ωмቶлիз ኯէхиնիжусу իб |
| Каնጷсոንጦщι ιኖυλሱ еврաχևጇ | ኧуσዓጬፀфθ йиκа | ጋիጊυτуγиμ утвፃζοσե |
Lescout voit dans la nature l’œuvre de Dieu, il aime les plantes et les animaux. Le scout voit dans la nature l’œuvre de Dieu, il aime les plantes et les animaux. Une famille religieuse au service de l'Eglise pour l'éducation des cœurs. F amille M issionnaire de N otre-D ame. fr. keyboard_arrow_up. en es de it pt. search. close. search. Save. Qui sommes-nous ?
PlanèteProtection de l environnement Pierre Déom, le créateur du journal La Hulotte, s’est vu remettre mardi par l’Association pour la protection des animaux sauvages Aspas, le trophée de "plume", récompensant une action positive pour la nature. Le présentateur de TF1 Jean-Pierre Pernaut et son apologie de la chasse ont reçu à l'inverse le trophée de "plomb". © Trophée de la nature Jean Pierre Pernaut ou la chasse plombéeCela fait quinze ans que l’Association pour la protection des animaux sauvages décerne ces trophées, en guise de félicitations avec le trophée de plume ou au contraire d’une mauvaise note avec le trophée de plomb. Ainsi, elle "dénonce les atteintes à la nature et encourage ceux qui œuvrent pour sa protection". Cette année, c’est ainsi l’écologiste Pierre Déom, fondateur du journal La Hulotte, qui a reçu le trophée de plume. "Véritable mine d'informations sur la faune et la flore de notre pays, La Hulotte passionne ses lecteurs par son savoureux mélange de rigueur scientifique et d'humour", a déclaré à l'AFP Pierre Athanaze, président de l' revanche, Jean Pierre Pernaut, célèbre présentateur de JT s’est fait remonter les bretelles en recevant le trophée de plomb. Cette contre-récompense a été remise "à Jean-Pierre Pernaut, qui l'a bien cherché, en diffusant de façon récurrente des reportages faisant l'apologie de la chasse dans son journal télévisé ... méprisant des principes fondamentaux du journalisme que sont l'information et l'objectivité", a ajouté M. Athanaze. En effet selon l’association, il "prend en otage la ruralité en diffusant d'elle une image filtrée, déformant la réalité. Il se dispense trop facilement de donner la parole aux opposants à la chasse ou aux associations citoyennes de défense de l'écologie, qui sont une part de plus en plus représentative de la population rurale moderne".
Sciences et technos La hiérarchie ne crée pas l'inégalité, mais apprend à vivre ensemble, affirme Alexis Rosenbaum, professeur de philosophie des sciences. Interview. Des chimpanzés du zoo de Beauval illustration. © Alain Jocard/AFP La correction des inégalités socio-économiques fait la fierté de nos États modernes, quand dans la nature les rapports entre les animaux nous paraissent le lieu d'une inégalité constante, issue de la lutte pour la survie et la reproduction. Cette inégalité produit des hiérarchies de dominance qui autorisent pourtant la vie en commun, ce qui nous interroge en tant qu'êtres humains. C'est ce qui a poussé Alexis Rosenbaum, professeur de philosophie des sciences à l'université Paris-Saclay, docteur en psychologie cognitive, à se pencher sur l'organisation des sociétés animales. Une incursion pleine de surprises qui dynamitent nombre de préjugés sur la nature du pouvoir et de l'inégalité. Le Point Pourquoi vous être intéressé au monde animal ? Alexis Rosenbaum Pendant des années, mon travail a été centré sur les hiérarchies humaines, à partir des réflexions de Tocqueville, sur la façon dont, lorsque les hiérarchies institutionnelles s'affaissent, des formes d'exacerbation de la comparaison sociale apparaissent. Une fois que les individus bénéficient d'une certaine égalité de conditions, ils se jalousent de manière plus intense, la susceptibilité à la différence devient plus grande. Inévitablement, je me suis trouvé confronté à la question de l'origine évolutive des hiérarchies humaines. Cette origine était peut-être à trouver du côté de nos ancêtres les primates. Pour réinscrire la question des supériorités et des infériorités humaines dans leur cadre naturel, c'est bien à ceux-ci qu'il faut s'intéresser, puisque nous y sommes affiliés. Aujourd'hui, la réflexion sur l'inégalité ne peut plus se passer de l'enseignement de la biologie. Celle-ci est une source d'informations sans égale pour qui souhaite penser la hiérarchie. Il n'existait pas de synthèse sur le sujet dans l'édition française. Je me suis donc lancé. Quelle a été votre première découverte ? Que la hiérarchie permet de vivre ensemble. On a une idée négative de la notion de hiérarchie, liée à notre réprobation des institutions hiérarchiques humaines. L'étagement des ordres de l'Ancien Régime sert de repoussoir à notre éducation républicaine. Celui des castes de l'Inde nous paraît incarner l'injustice sociale érigée en système. Quand on regarde du côté des animaux, on s'aperçoit que non seulement la hiérarchie permet de réduire la violence interne au groupe, mais qu'elle encadre souvent des conduites de coopération. Chez les singes géladas, un mâle dominant, une fois qu'il a vaincu, abordera son adversaire malheureux avec des gestes d'apaisement. Si le vaincu montre alors des signaux de subordination, ils se livreront à un toilettage réciproque et pourront se nourrir à proximité l'un de l'autre sans heurts. Ces attitudes sont vitales pour les géladas, qui vivent en vastes bandes. Chez les singes patas, en revanche, il n'existe pas de signaux clairs de soumission, et les mâles ont le plus grand mal à mettre fin à leurs altercations quand ils sont rassemblés. Cela ne leur pose cependant pas de problème majeur, puisqu'ils vivent de manière plus dispersée que les géladas. On a l'image d'une hiérarchie qui sépare, qui crée des barrières étanches. Dans le monde animal, d'une certaine manière, la leçon est presque inverse. Avant de séparer, elle permet de vivre ensemble. Les animaux sont-ils des dominants ou des dominés par nature ? On pourrait croire que ce sont des facteurs très élémentaires comme la force ou la taille qui sont décisifs pour la constitution des relations de dominance. En réalité, une multitude de facteurs entrent en jeu, notamment des facteurs liés à l'expérience personnelle de l'animal. Chez certains oiseaux comme le fou à pieds bleus, le statut de dominant s'acquiert très tôt dans la couvée. Le bénéfice des quelques jours d'éclosion plus précoces permet à l'aîné de prendre le dessus sur son cadet, ce qui paraît logique. Mais l'aîné conserve cette attitude de dominant, même si son cadet devient plus costaud, et inversement, le cadet garde son attitude de subordination. Une hiérarchie peut donc se constituer à partir des effets d'expérience, d'effets presque psycho-sociaux pourrait-on dire. Les expériences montrent qu'un animal peut s'enhardir en raison de ses victoires passées ou se décourager en raison de ses défaites précédentes. Il existe chez nombre d'espèces un winner effect comme un loser effect, au point qu'on peut se demander si les animaux n'apprennent pas à être dominés ou dominants. Vous avez été surpris de constater qu'il existait chez les primates une forme de transmission du rang... Cette forme de transmission du rang évoque par analogie la transmission du rang chez l'être humain telle qu'on l'a connue dans le monde aristocratique par exemple, laissant entrevoir des sortes de classes sociales. Que les rapports de forces se reproduisent à travers le temps un peu à la manière de certaines sociétés humaines sans pour autant faire appel à des institutions est surprenant comment certains primates s'y prennent-ils pour réussir à transmettre un rang sans la moindre institution ou idéologie qui apporte une caution à leur étagement ? Eh bien, chez les femelles macaques, par exemple, la mère va épauler ses filles de manière très régulière pour les aider à grimper dans la hiérarchie du groupe, elle va les soutenir systématiquement dans les conflits jusqu'à ce que les petites atteignent un rang proche du sien. Par un système d'alliance, de coalition, les filles peu à peu réussissent à dominer toutes celles que leur mère domine. L'originalité du processus tient au fait que l'acquisition du statut n'est ni génétique une orpheline perdra son rang ni institutionnelle, puisque aucune règle explicite n'encadre les relations, mais qu'elle est essentiellement influencée par la disponibilité des alliés. Le statut dépend de ceux qui le construisent, le reconnaissent et le maintiennent, faute de quoi l'ordre s'effondre. On pourrait croire que l'homme est le seul être capable de s'extraire des mécanismes de dominance naturels, l'institution de la monogamie, en particulier, constituerait une preuve que les humains échapperaient à cette loi naturelle du plus fort prolongée en loi du plus fécond. Or vous rapportez que c'est en réalité chez l'être humain qu'on trouve les formes d'inégalité les plus marquées à cet égard. Si dans la nature, globalement, rang supérieur et succès reproductif vont à peu près de pair chez les mâles, il existe cependant des espèces où une relative égalité peut s'instaurer entre les mâles. Chez certains primates, il n'est pas toujours facile pour les dominants de monopoliser les femelles et de surveiller les subordonnés pour les empêcher d'entreprendre celles-ci. Ainsi, chez certains babouins, plus le nombre de mâles augmente dans un groupe, plus le contrôle des femelles devient ardu pour les dominants. Il suffit que la végétation s'épaississe, par exemple, pour que des accouplements subreptices puissent plus facilement se dérouler. L'homme, lui, s'il appartient à l'espèce qui a construit des institutions égalitaires totalement inconnues dans le monde des vertébrés, est aussi celui qui, parmi les primates, a été le plus loin dans la direction de l'inégalité de reproduction. L'organisation des harems en est une illustration. Les murs, les gardes, les eunuques traduisent un ordre de coercition qui dépasse tout ce à quoi les babouins à l'oeil plus vigilant peuvent prétendre, institutionnalisant des inégalités reproductives complètement disproportionnées par rapport aux qualités effectives dont pouvaient se prévaloir les hommes qui en bénéficiaient. Dans l'histoire de l'humanité, ce n'est pas un hasard, l'élimination des harems est parallèle à celle du despotisme politique. Quel questionnement ce détour du côté des animaux a-t-il suscité en vous ? Si l'on accepte la prémisse que nous descendons d'une espèce de primates possédant une hiérarchie de dominance, on ne peut que s'interroger sur la présence étrange des chasseurs-cueilleurs parmi nos ancêtres les plus récents, car ils ont semble-t-il constitué des groupes assez égalitaires, si l'on en juge par les quelques sociétés de chasseurs-cueilleurs qui subsistent aujourd'hui. Comment est-on passé d'une espèce hiérarchique à une organisation en bandes plutôt égalitaire ? Le mystère demeure. Entre - 6 millions d'années et - 50 000, pour donner un ordre de grandeur, il y a malheureusement en la matière un trou dans les connaissances. Dominants et dominés chez les animaux. Petite sociologie des hiérarchies animales, d'Alexis Rosenbaum, Odile Jacob, 184 pages, 22, 90 euros. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Chez les animaux, "la hiérarchie permet de vivre ensemble" 3 Commentaires Commenter Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.QQII3bT. 4 155 274 289 112 327 234 298 197